Résumé du livre:
Kazuko, la sérieuse et appliquée Kazuko, aurait-elle soudainement perdu la tête? Depuis quelques temps, elles n’est plus sûre de rien. A-t-elle vécu ou bien rêvé les catastrophes qui se succèdent sur son passage? L’accident de camion, le tremblement de terre ou l’incendie qui semblaient pourtant si précis, si réels ! Kazuko a l’impression de savoir à l’avance ce qui va se passer, comme si elle avait fait un saut dans le temps…
Mes impressions:
Un livre vite lu, vite expédié comme je le craignais, l’histoire est intéressante mais se termine un peu trop vite à mon goût. On suit l’histoire de Kazuko, 15 ans, en pleine nettoyage après les cours, pendant que ses deux meilleurs amis Goro et Mazaru partent se laver les mains après leur tâche, Kazuko termine tranquillement et fait un crochet par la salle des sciences pour déposer les derniers instruments à ranger. A partir de là, les aventures de Kazuko commencent.
Déjà les personnages sont de parfaits élèves de lycée tout ce qu’il y a de plus banal. Ils faut savoir qu’au Japon, ce sont les élèves qui a tour de rôle sont chargés de nettoyer la classe, vider les poubelles et nettoyer les instruments ou autres qu’ils auraient utiliser au cours de la journée. L’idée du saut dans le temps est vraiment intéressant et la manière dont Kazuko se découvre capable de sauter dans le temps et innovante on va dire. Mais j’ai trouvé sa réaction un peu simple, elle fait des bonds dans le temps ok ça on l’a compris avant même d’ouvrir le bouquin, mais à part sa peur qui est tout à fait légitime, quand elle comprends ce dont elle est capable, je pensais y voir un peu plus de curiosité, plusieurs essais mais non et j’avoue avoir été un peu déçue de ce côté là.
J’ai trouvé que l’histoire allait un peu trop vite à mon gout, j’aurais aimé que la romance naissante soit un peu plus développé, qu’elle soit un plus naturelle, là j’ai eu l’impression qu’elle arrivait un peu comme un cheveux sur la soupe. C’est vraiment dommage, j’ai trouvé l’idée intéressante mais ça manquait cruellement de longueurs utiles, de curiosité et d’un peu d’attachement. J’aurais pu lire un panneau publicitaire que ça n’aurait rien changé, je n’ai pas eu les émotions que je pensais trouver.
Je ne le relirais pas, autant se plonger dans le film du même titre pour apprécier un peu plus l’histoire.
Mes Grimoires 