
résumé du livre:
Désormais reconnu comme le Princeps Gaius Octavien, héritier du trône, Tavi de Calderon est parvenu à conclure une alliance fragile avec les ennemis ancestraux d’ Aléra, les farouches Canims. Mais lorsque Tavi et ses légions reconduisent les Canims jusqu’ à Les redoutables vordes – ennemis des deux peuples – ravagent depuis trois ans la patrie des Canims. Et lorsque les Aléréens perdent l’accès à leurs vaisseaux, ils se voient obligés de se battre pour survivre aux côtés de leurs anciens adversaires.
Depuis un millénaire, Aléra et ses furies ont tenu tête à tous leurs ennemis, repoussé toutes les attaques. Mais cette époque touche à sa fin…
Mes impressions:
Premier livre de l’année, je ne pouvais pas mieux commencer. j’avais quitter Tavi dans une situation assez difficile qui s’était terminé d’une drôle de manière. Lorsque j’ai commencer ce cinquième tome, je n’ai pas été déçue. J’ai retrouvé Tavi dans une situation impossible pour lui et qui m’a fait sourire dès le départ de ma lecture. Dans ce tome, il s’est révélé être encore plus intuitif qu’avant et je l’ai admiré pour ça tout au long de ma lecture.
Octavien va nous faire plusieurs belles démonstration durant ce tome, ses talents de tactitien vont jouer un rôle important en pleine terre ennemie. Malgré la fragile alliance qu’il a réussit à former avec les Canims dans le tome précédent, Tavi n’aura pas d’autres choix que de se battre au côté de Vaarg et de les aider afin de pouvoir repartir vers Aléra.
Ce tome, je l’ai tellement aimé, Tavi est un Princeps à la hauteur de ce qu’on attend de lui et sûrement un peu plus. Il nous a démontré durant tout ce tome qu’il pouvait changer les choses et les mener à bien avec le moins de casse possible.
On a découvert aussi les canims sous un autres aspect, plus discipliné, plus tactique et découvert aussi une manière de se défendre assez efficace. C’était surprenant parce que malgré la dangerosité de cette race, un danger plus grand était déjà en marche sur leur terre.
Les vordes aussi semblaient organisées, on a appris l’existence des reines, leur manière de fonctionner et de créer des armées. J’ai été surprise parce que je ne pensais pas qu’elles évolueraient de cette manière. Mais ça les a rendu aussi intéressante parce que pour une fois, je me suis demandé comment Tavi, son armées et les deux peuples canims allaient s’en sortir.
On va faire aussi une belle découverte qui je pense sera certainement plus développer dans le prochaine tome et qui promet de belles surprises si ça suit le chemin que j’ai en tête. Je ne pense pas qu’on sera déçu loin de là.
En parallèle, on suivait aussi Bernard et Amara qui, mandé par le Premier Duc, devaient mener une mission dangereuse mais de la plus haute importance. Ils devaient eux aussi mener une guerre délicate et protéger au maximum les habitants des zones à protéger.
J’ai été surprise par les actions de ces personnages, je savais que ça allait être animé et ça l’était. Mais j’ai aussi eu de la peine pour les pertes qu’il ya eu, tellement de victimes, d’une manière horrible, d’une manière innattendue.
Lorsque j’ai terminé ce tome, j’étais ravie parce que ce tome est à la hauteur des autres, contente parce que certains éléments se sont révélés et que j’attendais que ça et triste parce que certains personnages vont manquer à l’histoire et que ça ne sera plus pareil ensuite.
Ce tome fut le premier coup de coeur de Janvier, plus j’avance dans cette saga et plus je l’aime, c’est prenant, intriguant, intéressant et attachant.
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